samedi 17 novembre 2012

L'histoire de Napoléon: partie 2

Les canons de vendémiaire: 5 octobre 1795


Le cadre de Napoléon à l'économie de la Convention et de ses plans pour le nouveau régime de cinq administrateurs, est simple. Dès qu'il est nommé l'un des commandants de défendre le siège du gouvernement dans les Tuileries (avec une force qui ressemble à son infériorité numérique de six à une par les rebelles), il pose une question simple: «Où est l'artillerie? Il a apprécié que dans les rues droites autour des Tuileries, la question peut être décidée par quelques canons plutôt que des milliers de mousquets.

Quarante canons sont connus pour être dans un Camp Six miles de là. Joachim Murat (un officier de cavalerie brillante, et plus tard, Napoléon, le frère-frère) est envoyé pour aller les chercher.

Une force rebelle est déjà en route pour saisir ces armes précieuses, mais Murat, au galop à la tête d'un escadron de 200 soldats, atteint le premier camp. Ses hommes glisser le canon à Paris.

Heureusement pour les membres de la Convention, en attendant nerveusement dans les Tuileries, les rebelles se prononcer sur une attaque frontale directe plutôt que quelque chose de plus subtil. Au cours de l'après-midi du 13 vendémiaire (Octobre 5) colonnes d'hommes armés, marchant à la batterie, arrivent dans la rue Saint-Honoré et tourner dans les rues menant aux Tuileries. Ils échangent des coups de mousquet avec les troupes de la Convention lorsque les volées de mitraille première larme de canon de Napoléon dans leurs rangs.

La rencontre est répété deux ou trois fois au cours de l'après-midi, mais finalement disperser les rebelles. La journée appartient sans équivoque à la Convention, ce qui permet des plans pour le nouveau répertoire de continuer comme prévu.

Beaucoup de crédit, très probablement exagéré, est donnée à la Napoléon de 26 ans pour ce échappé de justesse à la catastrophe. Dans les premiers mois de l'annuaire, il est rapidement promu jusqu'à ce que, en Mars 1796, il devient commandant en chef de l'armée française en Italie. Son succès dans ce rôle lui apporte une telle réputation en France qu'en 1799, il est lui-même en mesure de remplacer le répertoire.

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